Journal de Bord #7 – Septembre 2018
Cela fait quelques temps que je n’étais pas venu aux nouvelles. Il faut le dire, l’été n’est pas la saison propice aux longues séances dans les salles obscures. Et ce n’est pas non plus la période où la toile est la plus active. Alors, maintenant que les jours raccourcissent et que le thermomètre descend, après avoir franchi le cap du quart de siècle, c’est peut-être le moment de faire un statut rapide sur ce qui se trame par ici !
La minute Statistiques : Un été calme, une rentrée plus enthousiaste
Globalement, on est en-deçà des premiers mois assez fous de cette année, où l’on a atteint des sommets, mais vous connaissez sûrement l’histoire d’Icare, et il ne sert à rien d’aller se brûler les ailes en voulant voler trop haut trop vite non plus. Juin et juillet ont été plus calmes, avec peu d’articles postés, la coupe du monde, et les beaux jours. Août a été plus mouvementé, grâce au succès (et ça fait plaisir) de mon article sur le besoin de comprendre (ou non) un film pour l’apprécier. Dans l’ensemble, la fréquentation du site est repartie sur la bonne voie, les fidèles sont toujours présents, et l’envie d’écrire persiste, donc tout va bien ! Ce qui est sûr, c’est que l’année 2018 va marquer un vrai tournant.
Du neuf au ciné ?
Voici un petit récapitulatif des films que j’ai vus cet été (du 1er juillet au 30 septembre) :
Sorties cinéma
Mission Impossible : Fallout (4/5)
En eaux troubles (2/5)
Tamara Vol. 2 (2/5)
Hors sorties cinéma
Wrong (Quentin Dupieux, 2012) : 3.5/5
Réalité (Quentin Dupieux, 2015) : 4/5
Les Aventures du Prince Ahmed (Lotte Reiniger, 1926) : 3.5/5
La Isla Minima (Alberto Rodriguez, 2011) : 4/5
A chaque aube je meurs (William Keighley, 1939) : 3.5/5
N’oublie jamais (Nick Cassavetes, 2011) : 3.5/5
L’Heure Suprême (Frank Borzage, 1928) : 4.5/5
Un condamné à mort s’est échappé (Robert Bresson, 1956) : 4.5/5
Pickpocket (Robert Bresson, 1959) : 4/5
Les Enfants du Paradis (Marcel Carné, 1945) : 4/5
La Règle du Jeu (Jean Renoir, 1939) : 3.5/5
Les Diaboliques (Henri-Georges Clouzot, 1955) : 4.5/5
Rambo (Ted Kotcheff, 1982) : 4.5/5
L’Argent (Robert Bresson, 1983) : 3.5/5
Journal d’un curé de campagne (Robert Bresson, 1951) : 3.5/5
La Vérité (Henri-Georges Clouzot, 1960) : 4/5
Les Cheveux d’or (Alfred Hitchcock, 1927) : 4/5
La Terre (Alexandre Dovjenko, 1930) : 4/5
The Secret Man – Mark Felt (Peter Landesman, 2017) : 3/5
Les Contes de la lune vague après la pluie (Kenji Mizoguchi, 1953) : 4/5
L’Ombre d’un doute (Alfred Hitchcock, 1943) : 4/5
La Corde (Alfred Hitchcock, 1948) : 3.5/5
Un Chien Andalou (Luis Buñuel, 1929) : 3.5/5
I Love You Phillip Morris (Glen Ficarra & John Requa, 2010) : 3.5/5
HHhH (Cédric Jimenez, 2017) – Revue : 3/5
Les Indestructibles (Brad Bird, 2004) – Revue : 3.5/5
Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E. (Guy Ritchie, 2015) : 3.5/5
Mon nom est Personne (Tonino Valerii, 1973) : 3.5/5
Le Dernier pub avant la fin du monde (Edgar Wright, 2013) – Revue : 3.5/5
Les Moissons du Ciel (Terrence Malick, 1978) : 4/5
Point Limite (Sidney Lumet, 1964) : 4.5/5
La Colline des Hommes Perdus (Sidney Lumet, 1965) : 4/5
De battre mon cœur s’est arrêté (Jacques Audiard, 2005) : 3/5
Un Prophète (Jacques Audiard, 2009) : 4/5
Sur mes lèvres (Jacques Audiard, 2001) : 4/5
Cris et Chuchotements (Ingmar Bergman, 1972) : 4/5
Boogie Nights (Paul Thomas Anderson, 1997) : 4/5
La Passion de Jeanne d’Arc (Carl Theodor Dreyer, 1928) : 4.5/5
Pacific Rim : Uprising (Steven S. DeKnight, 2018) : 1.5/5
Sans un bruit (John Krasinski, 2018) : 3.5/5
Rush (Ron Howard, 2013) : 4/5
Larmes de clown (Victor Sjöström, 1924) : 4/5
On obtient donc une cinquantaine de films sur trois mois, ce qui fait une bonne moyenne !
Et pour la suite ?
Pour la suite, je continue d’essayer d’arpenter les événements intéressants sur Paris, de continuer à découvrir de nouveaux films et réalisateurs pour toujours en savoir plus sur le cinéma… Concernant les articles, j’essaie davantage au gré de mon inspiration plus que de me pousser tout seul à écrire. Je préfère me lancer dans la rédaction d’une analyse d’un film quand j’en ai besoin, plus que de simplement faire en sorte qu’une analyse soit publiée, sans que celle-ci soit vraiment développée ou pertinente que si j’en avais vraiment ressenti le besoin. C’est pour cela que certains de mes derniers articles sont aussi plus longs et plus développés. J’arrive aussi à recevoir davantage de messages via ma boîte de contact et j’espère que cela va se poursuivre pour déboucher sur des rencontres intéressantes !
Et vous, quels sont vos derniers coups de cœur ciné ?