X-Men : Days of future past, Bryan Singer, 2014 : On remet tout à plat !
Dernier opus de la saga X-Men, Days of Future Past est difficile à décrire car son scénario est à la base bien what the fuckesque. L’objectif ici est de revenir dans le passé pour éviter un futur post-apocalyptique, résultat d’une guerre ravageuse menée contre les mutants et les humains voulant les aider. En effet, ceux-ci vont être harcelés par une armée de « Sentinelles« , des espèces de robots-soldats. Pour ce faire, Wolverine va devoir revenir 50 ans dans le passé pour éviter que Mystique ne fasse une erreur fatale, en tuant le créateur des Sentinelles, menant à son arrestation et à l’extraction d’ADN contenant la clé de ses pouvoirs, rendant alors les Sentinelles totalement adaptables et donc presque indestructibles, ce qui provoquerait cette fameuse guerre à sens unique.
Cette idée de mêler futur et passé est un habile prétexte pour réunir tous les protagonistes de la saga X-Men originale, ainsi que des nouveaux issus de X-Men : First Class. C’est ainsi intéressant de voir Michael Fassbender et Ian McKellen dans le même film et de voir certains retours comme celui de Tornade. Comme j’ai dit, difficile de décrire ce film. Peut-être est-ce du au fait que j’ai regardé ce film l’esprit détendu, le cerveau au repos et sans grande attente, si ce n’est de vouloir assister à un bon divertissement, ce qui est pour moi la bonne solution face à ce type de film.
Il n’est bien sûr, pas sans substance ni stupide ! On explore toujours la thématique de la différence, des divisions… Néanmoins le point fort de ce film reste son statut de bon divertissement, faisant à la fois office d’un « all star » et d’un reboot, perpétuant ainsi la saga des X-Men qui devrait continuer à connaître le succès.
Note : 6,5/10.
Bande-annonce de X-Men : Days of future past