Un Justicier dans la ville, Michael Winner, 1973 : Casser la tête aux vilains
Oui, j’aime ce genre de film, où un individu lambda est un jour confronté dans sa vie à une dure épreuve (ici la perte de sa femme), et s’engage dans une vaste vendetta contre le crime. Notre héros est un architecte qui vit honnêtement, jusqu’au jour où sa femme et sa fille sont victimes d’un cambriolage perpétré par trois voyous qui tentent de violer la fille et battent la femme à mort.
Notre héros Charles Bronson va devenir ainsi justicier malgré lui, arpentant les rues la nuit, guettant des voyous à corriger. Un vrai retour au far west en plein New York des années 1970, où les bandits n’hésitent pas à attaquer notre justicier, lequel répond sans pitié aux menaces par un tir de pistolet bien placé, généralement mortel.
Si cette manière de procéder a un côté relativement gratuit (tu me menaces, je te tue), personnellement, j’ai toujours été friand de ce genre de film où les vilains n’ont que ce qu’ils méritent, et que le gentil gagne à la fin. Ce héros anonyme est l’ancêtre de ceux incarnés par des acteurs comme Jason Statham aujourd’hui. Pour ma part, ça me plaît alors je jetterai très certainement un œil aux suites !
Note : 6,5/10.
Bande-annonce d’Un justicier dans la ville
https://www.youtube.com/watch?v=_GieK_55uyY