CritiquesDepuis 2000

Hyper Tension 2, Mark Neveldine & Bryan Taylor, 2009 : Déjanté

Affiche de Hyper Tension 2 (2009)
Affiche de Hyper Tension 2 (2009)

Quitte à avoir choisi de laisser mes neurones de côté en visionnant le premier, autant faire durer le plaisir en enchaînant avec le second ! Cette fois Chev s’est fait piquer son cœur, et s’est fait greffer un cœur artificiel. Il va se lancer dans une folle course où il va chercher son vrai cœur, en devant littéralement recharger ses batteries pour tenir la cadence.

Jason Statham dans Hyper Tension 2 (2009)
Jason Statham dans Hyper Tension 2 (2009)

Si le premier était déjà bien barré, sans complexes ni limites, celui-ci ne déroge pas à la règle. On ne réfléchit pas, on est là pour se distraire. Ça va dans tous les sens, c’est grotesque (dans le bon sens du terme), bref, si Jason court dans tous les sens, nous on se met en pause une bonne heure et demi et on arrête de réfléchir ! Le seul bémol par rapport au premier c’est que même si le côté « électrique » de celui-ci est séduisant, les antagonismes sont moins clairs et, si le premier n’avait déjà pas beaucoup de sens, celui-ci en a encore moins. Mais ça reste un divertissement efficace pour les amateurs du genre !

Note : 6/10.

Bande-annonce de Hyper Tension 2

Quentin Coray

Quentin, 29 ans, mordu de cinéma depuis le visionnage de Metropolis, qui fut à l'origine d'un véritable déclic. Toujours en quête de nouvelles découvertes pour élargir mes connaissances et ma vision du cinéma. "L'art existe et s'affirme là où il y a une soif insatiable pour le spirituel, l'idéal. Une soif qui rassemble tous les êtres humains." - Andreï Tarkovski

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